Deux petites bougies sur le rebord de ma fenêtre ce soir, pour Marie et Mathias, originaires de Metz, et pour toutes les autres victimes des attentats commis il y a un an jour pour jour, nuit pour nuit. Je n'ai pas de mots pour dire, juste des flammes allumées dans la nuit et un grand silence.
Au petit matin - lundi 14 - la flamme de la plus grosse bougie était encore vive. A l'heure où je compléte cet article, elle brûle encore.