Deux petites bougies sur le rebord de ma fenêtre ce soir, pour Marie et Mathias, originaires de Metz, et pour toutes les autres victimes des attentats commis il y a un an jour pour jour, nuit pour nuit. Je n'ai pas de mots pour dire, juste des flammes allumées dans la nuit et un grand silence.
Au petit matin - lundi 14 - la flamme de la plus grosse bougie était encore vive. A l'heure où je compléte cet article, elle brûle encore.
Sans le savoir j'étais avec toi hier. Hier soir quand voyant "Marie et Mathias", et toutes les images de recueillement, de chagrin, de petites bougies allumées dans la nuit, j'ai pensé à toi... Je me suis demandé si comme moi, tu regardais ces images, tu vibrais à la flamme de toutes ces petites bougies...
RépondreSupprimerIl n'y a pas de mot pour dire, seulement la fumée des petites bougies qui s'élève dans la nuit...
Je n'ai pas pu regarder. Trop douloureux. Mais j'ai joint mes bougies à celles de toutes ces personnes qui se sont recueillies, celles qui n'oublient pas, celles qui souffrent encore dans leur chair et/ou dans leur âme. Non, il n'y a pas de mot...
SupprimerBonjour Marie,
RépondreSupprimeril me semble que j'avais laissé un message à ce sujet,mais je ne le trouve pas.
J'avais fait aussi ce geste,bien modeste ,mais en pensant beaucoup à tous ces disparus,et à ceux qui restent et souffrent,les blessés et la famille de tous ces gens dans la peine.
Bisous de Nadine.
Coucou Nadine, non je n'avais pas de commentaire de toi sur cet article. Il n'aurait pas disparu à moins que tu l'aies mis et qu'il se soit envolé comme parfois quand tu m'écris des emails. L'informatique est loin d'être parfaite.
SupprimerNos bougies ont donc brûlé ensemble dans la nuit, avec les centaines de milliers d'autres.
Bisous Nadine. Bon samedi.