Deux de mes enfants m'ont adressé - outre leur présence - des cartes virtuelles dont je n'ai pu faire qu'une capture d'écran statique (ce sont des cartes animées). Je suis touchée profondément par leur attention et j'ai une pensée particulière pour mes deux neveux qui viennent de perdre la leur dans de dramatiques circonstances. La vie continue mais les nuages gris ont du mal de laisser place au ciel bleu qui dans tous les cas ne sera plus jamais aussi bleu. [blank] .....
Alors là... et une vie "exceptionnelle" tu as !
RépondreSupprimerCa oui, on peut le dire. Hélas, dans les choses exceptionnelles de ma vie, il y a aussi de terribles drames. Alors, je ne sais pas ce qui est mieux : une vie "standard" et monocorde, ou une vie "exceptionnelle" en passant par toutes les couleurs de l'artiste. Bises André. Je te croyais au travail.
Supprimerjolies cartes et présences pour ce jour particulier, où s'exprime l'amour éternel... celui des enfants et des mamans
RépondreSupprimerJ'ai aussi publié un billet où j'espérai te voir, comme beaucoup de mamans que je connais
bisous et bonne journée
Passion qui ne sait plus comment faire passer ces coms autrement qu'en anonyme!!!
J'étais malade Passion, avec fièvre et frissons. Et j'ai juste fait une ouverture éclair de mon blog pour mettre ces deux cartes virtuelles de deux de mes enfants. On n'a rien fait de spécial pour la fête de mères. Une année comme ça. De toute façon, le cœur n'est pas revenu à la joie et les choses laissées en suspens le sont toujours. Gros point d'interrogation pour la suite.
SupprimerJe t'embrasse.
baisers du dimanche, Marie. Je viens très régulièrement voir si tu as posté quelque chose de nouveau. J'espère que tu vas au mieux que possible et que tu profites d'un peu de soleil. Mille bisous
RépondreSupprimerPas mis le nez dehors Ambre, j'ai passé le week-end à bosser et je viens seulement d'arrêter et d'ouvrir ma boîte de messagerie électronique.
SupprimerGros bisous à toi et merci pour tes visites. Rien de neuf, non. En fait, je me suis immergée dans le travail. Ca m'évite de penser et aussi de me projeter là où je ne vois rien et où je n'ai aucun élément pour appuyer mes projections.