Cela me fait penser à la phrase "N'oublie pas d'aimer", que l'abbé Pierre, disait-il, avait sous ses yeux dans sa petite chambre et lisait tous les matins. "N'oublie pas d'aimer": si tous, nous pouvions nous dire cela chaque jour! Belle journée à toi Marie. Gros bisous.
Aimer est un état d'esprit. Etre dans l'amour et aussi, comme l'a dit Mère Térésa, faire en sorte que l'autre reparte un peu plus heureux qu'en arrivant (un mot doux, une jolie image qui fait rêver, un pensée qui suscite l'espoir, une histoire drôle, pourquoi pas, tout ce qui amène l'esprit à se dérider). Je suppose que si l'abbé Pierre lisait cette phrase "n'oublie pas d'aimer" c'est parce qu'il était confronté à de la misère au quotidien et qu'il a vite compris que c'est plus facile d'aimer ce qui nous fait du bien, nous porte aux anges, que ce qui nous dérange, nous déplaît, nous chagrine. Bisous et belle journée.
C'est une belle analyse, Marie. J'avoue que je n'avais jamais envisagé cela sous cet angle... C'est vrai que c'est bien difficile "d'aimer" ce qui nous dérange, nous déplaît... ce qui est différent de nous...
Eh oui, sinon ce serait trop simple ;-) moi aussi j'ai du mal d'aimer ce qui me dérange, et ceux qui me dérangent. J'avoue. J'essaie de les ignorer, c'est déjà mieux que rien mais ce n'est pas de l'amour. Peut mieux faire :-)
Cela me fait penser à la phrase "N'oublie pas d'aimer", que l'abbé Pierre, disait-il, avait sous ses yeux dans sa petite chambre et lisait tous les matins.
RépondreSupprimer"N'oublie pas d'aimer": si tous, nous pouvions nous dire cela chaque jour!
Belle journée à toi Marie. Gros bisous.
Aimer est un état d'esprit. Etre dans l'amour et aussi, comme l'a dit Mère Térésa, faire en sorte que l'autre reparte un peu plus heureux qu'en arrivant (un mot doux, une jolie image qui fait rêver, un pensée qui suscite l'espoir, une histoire drôle, pourquoi pas, tout ce qui amène l'esprit à se dérider).
SupprimerJe suppose que si l'abbé Pierre lisait cette phrase "n'oublie pas d'aimer" c'est parce qu'il était confronté à de la misère au quotidien et qu'il a vite compris que c'est plus facile d'aimer ce qui nous fait du bien, nous porte aux anges, que ce qui nous dérange, nous déplaît, nous chagrine.
Bisous et belle journée.
C'est une belle analyse, Marie. J'avoue que je n'avais jamais envisagé cela sous cet angle... C'est vrai que c'est bien difficile "d'aimer" ce qui nous dérange, nous déplaît... ce qui est différent de nous...
RépondreSupprimerEh oui, sinon ce serait trop simple ;-)
Supprimermoi aussi j'ai du mal d'aimer ce qui me dérange, et ceux qui me dérangent. J'avoue. J'essaie de les ignorer, c'est déjà mieux que rien mais ce n'est pas de l'amour. Peut mieux faire :-)