vendredi 9 mai 2014

Paul

 
Paul a mal au dos

Paul s’est déplacé une vertèbre ou quelque chose comme ça après avoir soulevé et reposé mardi en début d’après-midi l’immense tiroir d’une grosse armoire, de surcroît pas vidé ; il venait de déposer le tiroir plein sur son lit quand il entreprit de dégager une caisse bien lourde et bien remplie, calée depuis une dizaine de jours dans le soubassement de l’armoire laissé vide lors du démontage temporaire de la vieille armoire en bois. Et là, aïe ! Ca fait mal. Douleur vive au niveau des vertèbres sacrées, sensation de jambes qui flageolent, et voilà Paul tout flagada. « Qu’est-ce que j’ai fait ?! – Quel idiot je suis ! » marmonne le pauvre Paul bien mal en point tout à coup. « Et que faire ? Je ne peux pas me permettre de ne plus pouvoir bouger ».

Paul arrête temporairement ses travaux de « déménagement » pour réfléchir à la façon dont, dans tous les cas, il va devoir enlever le tiroir gros et plein du dessus de son lit s’il veut pouvoir se coucher le soir. Aïe ça fait mal, et surtout, à peine moyen de marcher. Arnica Montana en granules homéopathiques, gel d’arnica sur la partie du sacrum, et attente en position étrange, ni vraiment assise, ni vraiment couchée. Les deux sont inconfortables et surtout risquent de rendre le changement de position impossible et de bloquer carrément les vertèbres. Il a déjà connu cela et il sait donc que cela peut arriver, que, oui, ça peut être encore bien pire. « Limitons les dégâts ! »
Une idée lumineuse lui permet quelques heures plus tard de déplacer le tiroir et le faire glisser sur le sol, doucement, d’abord un coin, puis l’autre, où il restera tant que le porter ou même le déplacer sera impossible. Au moins le lit est dégagé. La nuit passe, les reins enveloppés dans une grosse écharpe de laine bien douce et bien chaude. Réveils fréquents, rappel au passage, à chaque essai de mouvement, de la douleur qui est toujours bien présente et surtout de la fragilité : ce n’est pas le moment de faire un faux mouvement qui empirerait la situation.  Prudence ! Le lendemain, réveil tardif. Mot d’ordre : ne pas (trop) bouger. Heureusement qu’il y a les pc pour trouver tout un tas de choses à faire sans bouger beaucoup plus que les doigts. Arnica, gel d’arnica, arnica encore, gel encore… et la journée passe. Volonté d’aller acheter du pain vers 17 h, mais impossible. Les jambes sont molles et Paul sent que s’il trébuche ou bute sur le rebord d’un trottoir, il « casse ». Donc, tant pis. Renoncement au pain pour la journée et le lendemain au petit déjeuner.

J+2 : Encore fragile, sensible et handicapant. Il faut quand même consulter. On est vendredi et le week-end approche. Paul se décide et après avoir acheté un titre de transport au distributeur, monte dans le véhicule qui le conduit jusque devant la porte de son médecin. Volets fermés : le médecin a pris la semaine en congés. Pas de chance, Paul va le voir deux fois par an (là c’est la première fois de l’année), et il est en congés. Paul hésite. Il repart directement comme il est venu (le prochain transport est dans dix minutes, pour le trajet retour) ou il cherche à voir quelqu’un d’autre ? Réflexion de quelques minutes sur le trottoir. Ah, la pharmacie. Aller racheter de l’arnica Montana en granules, il n’en a plus.

Cling… fait la porte de la pharmacie en s’ouvrant. « Bonjour, » fait un homme un peu rondouillard à l’aspect jovial, surgissant de derrière le comptoir et les étagères chargées de pharmacopée. « Bonjour » répond Paul. « Je voudrais un tube granule d’Arnica Montana en 5 ch. Je voulais voir mon médecin généraliste, le docteur M., mais il est en congés cette semaine. Je me suis déplacé une vertèbre je crois ».  « En effet, le docteur a pris ses congés cette semaine ». « Vous connaissez un autre bon médecin dans le quartier ? » risque Paul à l’attention du pharmacien. « Bien sûr… Laissez-moi réfléchir… Il y a le docteur X, juste à côté, dans la rue perpendiculaire à cette avenue, juste au carrefour. Il est médecin généraliste et un peu ostéopathe. Et il y a les deux femmes, les nouvelles, un cabinet médical qui se trouve non loin d’ici. Je vais vous indiquer… » et le pharmacien se lance dans des explications qui convainquent Paul d’aller rendre visite à l’une de ces médecins. D’abord, ce sont des femmes, et cela lui inspire confiance, ensuite ce sont des homéopathes, et comme il a davantage confiance en l’homéopathie qu’en la médecine allopathique (à cause de tous les effets secondaires des médicaments), il pense qu’il va peut-être enfin rencontrer LE médecin, l’être parfait à qui il pourra désormais confier son corps sans craindre soit les effets secondaires, soit qu’il soit passé à côté de quelque chose de plus profond (terrain) que le symptôme lui-même.
Marchant comme sur des œufs pour ne pas faire ressurgir la douleur irradiante du sacrum ni risquer de se coincer en plein milieu de la chaussée en traversant l’avenue, Paul se dirigea vers le cabinet médical indiqué.

Une plaque, deux noms : deux noms de femmes, toutes deux médecins généralistes homéopathes, un même numéro de téléphone, une indication unique : sur rendez-vous. Pas d’indication de jours ni d’horaires. Paul regarde à nouveau les deux noms : laquelle choisir ? nom ? prénom ? Allez, il téléphone. Celle avec qui on lui accordera le rendez-vous sera celle choisie par le destin et donc la personne parfaite pour lui. Il prend son téléphone portable et compose le numéro. « Allo » fait une voix de femme agacée. « Allo ? » répond Paul surpris. A priori, ce n’est pas une secrétaire. Ou elle fait mal son travail d’accueil. « Allo. Le pharmacien qui se trouve non loin de chez vous m’a indiqué votre cabinet. En fait, je suis en bas de l’immeuble et je voudrais prendre rendez-vous. » « J’ai terminé les consultations ». C’est donc l’une des deux médecins pense Paul. « Oui. Et ? » « Je vous dis que les consultations sont finies. » « Je me suis déplacé une vertèbre et je suis en bas de chez vous. Mais je peux prendre rendez-vous … ( ?) » « Les consultations sont finies ! » répond sèchement la voix. « Vous voulez dire que les consultations sont finies… pour la journée ? pour la semaine ? » « C’est cela ! Au revoir monsieur ! » Et Paul entend raccrocher le combiné téléphonique. « Eh bien,  pour un médecin, quelle prévenance ! Elle aurait peut-être dû choisir un autre métier. C’est  presque de la non-assistance à personne en danger » soupire Paul. Il résiste à l’envie de retourner à la pharmacie raconter cela à l’homme qui lui a conseillé ce cabinet, mais cela l’obligerait à refaire un trajet à pied dont il sent que sa colonne se passera bien.

Par curiosité il retourne un peu sur ses pas pour aller voir la plaque de l’autre médecin indiqué par le pharmacien : une vieille plaque sur un mur, des horaires avec des indications jour par jour, avec ou sans rendez-vous. Au moins c’est clair. Mais un numéro de téléphone à huit chiffres qui laisse supposer que ce médecin a peut-être oublié de se mettre au goût du jour, cela fait tout de même une vingtaine d’années que les numéros de téléphone fixe sont passés à dix chiffres.

Tant pis. Paul retraverse la rue après avoir pris le temps d’acheter une bonne baguette de pain dans la boulangerie traditionnelle qui jouxte le cabinet du médecin (1,10 euros la baguette quand même, la tradition ça se paie !!! et il n’y avait pas d’autre choix possible dans cette boulangerie) et se dirige vers l’arrêt où il voit s’approcher un transport en commun qui le reconduira non loin de chez lui. Une baguette de pain à la main, une dose d’arnica sous la langue : « On verra bien. Je rentre ».
 

17 commentaires:

  1. Pauvre petit Paul ! alors là je suis sidérée ! sidérée qu'un "médecin" ait pu se comporter de la sorte ! mais vu lla gravité de la situation, Paul aurait sans doute pu appeler SOS médecin ou quelqu'un qui se serait déplacé ? Je ne suis pas sûre que l'arnica soit suffisant pour de telles douleurs. Oh lala je suis toute chamboulée, pauvre petit Paul !

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    1. Pareil. J'ai été sidérée. C'est pourquoi Paul m'a soufflé l'idée de narrer son aventure sur le blog. Ce n'est pas tant qu'il voulait que je fasse état de sa santé (il en a vu d'autres !!!, et en silence et tout seul) mais la réaction de la part d'un médecin, de quelqu'un qui se dit médecin, est affligeante. Pour la petite histoire, il était midi moins le quart ce vendredi matin. Même moi qui ne suis pas médecin j'aurais : soit proposé à la personne en bas de monter (puisque j'étais là et avais fini mes consultations), soit proposé un rendez-vous, que Paul aurait peut-être décliné si ça semblait trop lointain dans le temps. Et encore, à l'heure qu'il est, Paul me dit qu'il aurait même accepté un rendez-vous pour le lundi après-midi. Paul est encore mal en point (c'est surtout que ça se voit sur sa figure qu'il doit avoir mal à l'intérieur) mais l'arnica en gel et en granules semble avoir fait déjà un peu d'effet (ou alors c'est le temps qui passe et le repos ? Debout c'est nettement moins évident). Bien sûr je te tiens au courant de son état de santé. Bisous.

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    2. La première chose que je fais en me connectant est de venir prendre des nouvelles de Paul (dans ma hâte je viens d'écrire un commentaire et j'ai cliqué sur je ne sais pas quoi et il a disparu !)
      Je me suis arrêtée sur "mais l'arnica en gel et en granules semble avoir fait déjà un peu d'effet (ou alors c'est le temps qui passe et le repos ? Debout c'est nettement moins évident)" car je suis moi même fort sujette aux douleurs de dos, de "reins", avec du mal à marcher (mal à la jambe), je crois que c'est dû en partie à la "fatigue de la vie "(le corps parle) car c'est toujours dans ces cas là qu'on se coince quelque chose
      Dans ce cas, toujours toujours le médecin me prescrit une seule chose : REPOS. Même pas la vaisselle, car m'a-t-il dit, la position penchée sur l'évier est très déconseillée. Et il vaut mieux être assise (sur une chaise bien droite) ou allongée que debout (dixit mon médecin)
      Dis le à Paul qui, j'en suis certaine, est un homme à la page qui fait lui-même sa petite vaisselle. Il vaudrait mieux que cela attende.
      Donc repos et chaleur, les kinés ne feraient rien de plus pour commencer que de lui coller une bouillotte là où ça fait mal.
      Bisous - en espérant que ce matin, Paul va mieux ♥

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    3. Coucou Petit-Sucre, merci de ton empathie pour Paul. Il apprécie. En fait, ce matin ça va nettement moins bien qu'hier. Mais le repos total n'a jamais été le fort de Paul, car personne ne peut faire à sa place ce qu'il a à faire. Et il a aussi la mauvaise habitude de mal s'asseoir par terre sur un coussin pour écrire ou travailler, et la position ne doit pas arranger les choses. Je vais lui dire de faire plus attention. L'idée de la bouillotte est une idée excellente. Si je retrouve où j'ai rangé la mienne, je vais lui en préparer une. Le plus dur pour lui va être de rester une demi-heure ou plus sans rien pouvoir faire. Sacré Paul !
      Oui, le corps parle et je suis retournée voir ce que Michel Odoul disait au sujet d'un accident touchant cette partie du corps. (se blesser soi-même est un accident). C'est édifiant ! Mais ça ne change rien à la situation. Alors ??? Attendre, et prendre confiance. Bisous Petit-Sucre. Bon week-end. Marie

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  2. Eh!Bien dis donc Marie ,on a le temps de souffrir avec des médecins comme cela...pas sympa,pauvre Paul ,Dieu merci de l'arnica(sauvé pour le moment))et du pain,1.10 la baguette,il ne lie pas son chien avec des saucisses le boulanger(voila ce qu'aurait dit ma grand Mère...)
    Tu sais bien narrer tout cela ma Marie.J'espère que tu vas trouver un médecin digne de ce nom pour te soulager.Bonne nuit ,je te souhaite un réveil moins douloureux.Gros bisous de Nadine.

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    1. Merci Nadine. Je crois que ma mère utilisait une expression identique pour dire que c'est cher.
      Pour l'instant pas de médecin toujours puisque mes tentatives d'hier ont été vaines et que ce matin, samedi, à bientôt midi, il n'est même pas utile d'y penser. Donc je vais me rebadigeonner de gel d'arnica, continuer les granules et faire confiance à Dame Nature. Pour l'instant pas d'amélioration. C'est même moins bien qu'hier.

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  3. Je ne suis pas surpris...
    J'ai aussi des expériences de ce genre de mon côté...Nous avons un sens du service et de l'empathie en France...
    Enfin, en théorie...
    Pour Paul, je ne vois rine... de salutaire. Juste dormir à plat et se ménager jusqu'à trouver une bonne âme...
    Courage !

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    1. Merci Le Rônin ! Je vais transmettre à Paul qui est juste à côté de moi, près de l'écran du PC, fidèle à lui même, stoïque et attendant que ça passe. Peut-être que si je pousse le transfert jusqu'au bout, en lui massant le bas du dos ça agira sur mes vertèbres à moi ? (la pensée qui agit). Il est vrai qu'en France, le service et la vocation des médecins ont bien changé et j'aurais eu d'autres anecdotes et expériences à mon actif à raconter... Mais en écrivant ceci, je ne suis pas sûre que dans d'autres parties du monde ce soit bien mieux. Je pense notamment à tous ces pays où tu ne peux te faire soigner si tu n'as pas d'argent ou pas de carte bleue
      Merci pour ta visite Le Rônin, et ton commentaire. Bon week-end. Marie

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  4. Bonjour "Petit Paul"...
    Hé bien... Ta douleur n'est pas muette!!!( rires gentils!!!)
    Voilà qui a inspiré à Marie, une belle histoire... et fait rencontrer... une de ces médecins d'aujourd'hui et de ville!!!
    Un spécimen qui est loin d'être rare et tout à fait en voie "d'apparition" même à la campagne!!!
    Hé oui... c'est fini (ou presque) le bon vieux médecin de famille qui savait écouter autant que soigner ... celui qui guérissait autant l'âme que les corps...
    Maintenant le médecin moderne est femme ou homme pressé qui chronomètre son temps de consultation aux 10 minutes par patient (patients qui doivent l'être, car les R.V étant donnés dans le temps imparti, la moindre urgence prise entre deux malades, décale et enraye la machine!!!)
    C'est parce que tu fréquentes peu ce genre d'énergumènes que tu es surprise!!! dans ton cas, une seule solution s'imposait: les urgences hospitalières (ou un dispensaire si ça existe près de chez toi)... et là, être encore très patient... (rires jaunes)
    Je sais que tu es une adepte de la médecine douce, mais quelquefois en douleurs aiguës, l'Homéopathie est un peu trop lente dans l'action... un traitement choc s'impose ; Nurofen est mon remède miracle... et comme tout anti-inflammatoire ... les effets indésirables ne se présentes qu'à fortes doses ou à durée de traitement...
    Je dois dire qu'avec une hernie discale et un grand jardin, je suis obligée de m'y "plier" (rires)
    Petit Paul, j'espère que tu vas aller mieux ... du repos, du repos, encore du repos!
    Bisous Marie

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    1. Coucou Passion. Oui, tu vois, le sentiment d'abandon ressenti par Paul a libéré la parole, et finalement c'est le côté positif de la chose. Et aussi toute la sympathie qui est venue se joindre à cette douleur "sacrée" (vertèbres sacrées obligent !). J'espère que ton commentaire va être lu par mes "milliers" (rires) de lecteurs car tu résumes très bien la situation de la médecine actuelle. Cela dit, comme je l'ai dit au Rônin plus haut, je ne suis pas sûre que ce soit mieux dans d'autres pays (et même bien au contraire, hélas). Nous sommes malgré tout encore, ici en France, des privilégiés. Je ne suis pas sûre d'avoir du Nurofen dans ma pharmacie mais si ça se vend en vente libre en pharmacie, j'irai en acheter dans l'après-midi. Lundi approche et là, je ne suis pas au top pour assurer la semaine qui vient. Je vais quand même essayer la bouillotte préconisée par Dr PetitSucre. Et le repos conseillé par vous tous. Merci de tant d'attention pour mon petit Paul. Il en devient tout rose de plaisir. Si, si, et une grenouille rose, ce n'est pas très courant.
      Bisous Passion, et merci pour ta visite et ton commentaire. A très bientôt ♥ Marie
      PS : je n'ai pas pu hier lire ta réponse à mon commentaire sur ton blog, toujours ces délais entre publication et édition. Je vais y aller maintenant, je pense que c'est bon à cette heure-ci. Re-gros bisous.

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  5. recoucou ma belle ,alors petit Paul ne va guère mieux aujourd'hui !!!que faire,l'arnica n'est pas suffisant je pense ,As tu au moins des anti douleur pour te permettre de te relaxer un peu.Je sais que tu aimes les médecines douces mais parfois il faut faire plus fort.
    Je t'embrasse très fort ma Marie,Nadine.

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    1. Coucou Nadine, je n'y pensais pas. Et quand j'ai dû partir à la pharmacie, j'avais tellement mal que je me suis souvenu que mon ex-mari qui a eu une hernie discale et des rechutes de temps à autre m'a dit un jour que seul l'Aspégic 1000 lui faisait du bien. J'ai donc pris un sachet en partant et je crois que cela a fait de l'effet car j'ai nettement moins mal. Et à la pharmacie on m'a vendu un gel du même nom que le traitement dont me parlait Passion : Nuforen. Je me ferai un massage tout à l'heure en allant me coucher. Et j'en ai profité pour racheter des boules QUIES pour tenter de limiter les bruits venant de chez ma voisine jusqu'au milieu de la nuit. Bisous ma Nadine, et bonne nuit à toi aussi.

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    2. Nurofen en fait, je viens de vérifier sur le packaging du produit :-D

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  6. Oui, j'allais te le dire C'est du Nurofen, il y a un anti-inflammatoire dedans et c'est efficace. Pour éviter d'avoir mal au ventre (quoique ce ne soit pas systématique) mange au moins un bout de pain tout de suite après. Et si ce sont des comprimés avale les debout avec un GRAND verre d'eau. En deux jours normalement tu es soulagée. Sauf évidemment si tu décides dans la foulée de faire ton grand ménage de printemps :-) Bisous Marie ♥

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    1. Bonsoir, l'Aspégic 1000 m'a fait bcp de bien en supprimant les douleurs que j'ai connues pendant 3 jours. Mais ce n'est pas fini. La pharmacienne m'a parlé d'un possible déplacement de vertèbre et conseillé de consulter un médecin. En attendant, je calme la douleur et je fais attention en me déplaçant. Quant au grand ménage de printemps, il attendra celui de l'année prochaine (rire). Bisous. Merci pour tes conseils. ♥

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  7. Bon, j'espère que ça aura été efficace... car je suppose que tu reprends demain???
    Tu as raison sur les soins dans les autres pays... nous sommes encore très privilégies...quand tu penses qu'au Japon... ils sont pas mal contre les médoc et si ils pouvaient te soigner avec de la bave de crapauds... ils le feraient bien!!! pourtant eux , ils ont tout ce qu'il faut et savent s'en servir...
    plein de bisous

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    1. Exactement. Je ne sais pas ce que cela va donner mais pas question de se défiler... Je ne connais pas le système de soins au Japon mais je vois que c'est comme dans bien d'autres pays, enfin ceux où il y a un minimum de soins. Il y a toujours pire (et toujours mieux). Bisous Passion. Bonne nuit.

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